Là le bateau commence à donner
des signes de fatigue.
La drisse (ou enfin un truc genre
corde mais faut surtout jamais
prononcer le mot sur un voilier, et
donc, quelqu’un a dû le prononcer
forcément parce qu’on a eu que
des emmerdes ensuite) casse,
clac…
Et donc Mado se fait hisser dans
la mâture pour aller récupérer le
bout de boute et le raccrocher.
Chapeau.
Moi si je faisais ça tout le monde
prendrait mon repas sur la figure.
Et donc Mado répare, enfin
rattache.
On dirait que
ça prend du
temps.
Et ça recasse. Là c’est
Johan qui s’y colle.
Même remarque que
précédemment.
Décidément ce bateau serait-il une merde ?
Une anomalie dans les réponses de l’hélice
au moteur attire l’attention de Manu. Essais.
Marche avant, marche arrière, point mort,
marche avant, marche arrière. Ben non, ça
n’enclenche pas. A certains moments, l’arbre
d’hélice n’embraye pas.
Un peu gênant pour les accostages et les
mouillages…
Manu téléphone au loueur, Vincent. Qui nous
rejoindra demain à Port-Cros avec un autre
bateau, celui
qu’on devait
avoir à l’origine.
Problèmes…