En contrebas de la route de Volax, un
endroit tout paisible, Michèle est partie se
promener parmi les rochers et les oliviers,
et moi je reste à dessiner dans un silence
absolu.
Autre vision de Tinos, les toits de Kardiani
en fin d’après-midi. C’est cette image dans
ma tête qui me donne toujours envie d’y
retourner.
Juste une remarque : toutes ces pages
ne sont pas figées. Au fur et à mesure
que je redécouvre des dessins ou des
photos, je les retravaille pour nourrir
ces tranches de vie de Tinos qui nous
ont tant fait de bien, et parfois rendus
tristes…